lundi 16 décembre 2013

Une histoire des festivals (annonce de publication)


Anaïs Fléchet, Pascale Goetschel, Patricia Hidiroglou, Sophie Jacotot, Caroline Moine et Julie Verlaine (dir.), Une histoire des festivals (XXe - XXIe siècles), Paris, Publications de la Sorbonne, 2013, 350 p.

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Avignon,  Cannes,  Festpaco, Newport, Woodstock…
tous  ces  noms  évoquent  des  festivals célèbres,  pour  certains  mythiques. C’est à l’histoire de ces manifestations culturelles singulières que s’attache cet ouvrage.
Une  histoire  contemporaine qui  va  parfois  chercher  ses  racines loin  dans  le  temps.  Une  histoire de  moments  singuliers  et  de  lieux inédits.  Une  histoire  révélatrice  de fortes  aspirations  esthétiques nourrie  aussi  par  de  puissants  enjeux politiques,  économiques  ou  sociaux.
Une histoire foisonnante, inscrite dans une  perspective  locale,  nationale  et mondiale,  laissant  une  large  place aux  phénomènes  d’échanges,  de circulations et de métissages.

Sommaire 
introduction . Le   festival,  objet   d’histoire, par Pascale Goetschel et Patricia Hidiroglou

Première Partie : jalons et territoires
Émergences et générations
• Qu’est-ce qu’un festival ? Une réponse par l’histoire (Pascal Ory)
• La renaissance de l’opéra en europe dans la seconde moitié du  XXe  siècle grâce aux festivals
(Aude Ameille)
• Les festivals artistiques de la guerre froide : quel rôle dans le renouveau de l’espace culturel
européen ? années 1940-1960 (Caroline Moine)
• Les festivals internationaux de cinéma dans l’Urss du second stalinisme, ou brèves histoire de contre-festivals « fantômes » (Stefano Pisu)
•  Les  festivals  de  musique  populaire :  un  objet  transnational. années  1950-1970  (Anaïs Fléchet)
• The era of song festivals : a fundamental moment in música Popular Brasileira. 1966-1968 (Marcos Napolitano)
• Les festivals « pop » et « rock » en Europe : débats et enjeux. Fin des années 1960-début des années 1980 (Florence Tamagne)

Vers une « Festivalisation » de la vie culturelle ?
•  Changing  festival  definitions :  the  history  of  the  Fribourg  international  Film  Festival  – switzerland (John Wäfler)
• The Queer film festival phenomenon in a global historical perspective – 1970-2000 (Skadi Loist)
• Une forme globalisée, des enjeux localisés. les festivals culturels régionaux au Burkina Faso (Sarah Andrieu)
• Les festivals de théâtre : esquisse d’une sociologie du champ théâtral (Sylvain Schryburt)

Seconde Partie : Formes et dynamiques
Modèles, contre-modèles
•  Le  festival  d’athènes-Épidaure :  un  organisme  en  pleine  mutation  (Sotirios  Haviaras  et Marie-Noëlle Semet)
•  Le  KlezKamp  de  New York  (1984)  et  le  festival  de  culture  juive  de  Cracovie  (1988) : modèles d’une culture yiddish réinventée (Patricia Hidiroglou)
• La naissance de deux festivals de culture juive dans le Berlin divisé (Laurence Guillon)
• Les festivals du Cameroun et les enjeux identitaires et politiques : le cas du Festik (2000) et du Festat (2001) (Bana Barka et Harouna Barka)

création et légitimation
• Au cœur de la construction de l’identité autrichienne : le festival de Salzbourg. 1917-1950 (Amélie Charnay)
• Le festival d’aldeburgh et Britten (Michel Rapoport)
• « Britain at home to the world ». Propagande et relations culturelles au Festival of Britain. 1951  (Alice Byrne)
• Angoulême, « la ville qui vit en ses images » ? Politisation de la culture et institutionnalisation du  festival (Sylvain Lesage)
• Le festival international de télévision de Monte-Carlo, à la recherche du 8 e  art (Géraldine Poels)
• Les biennales d’art contemporain de Bordeaux, Lyon et Nantes, un nouvel âge de l’événementiel urbain ? (Françoise Taliano des Garets)
• La biennale artistique et culturelle du mali : la mise en scène d’une culture nationale, de l’indépendance à aujourd’hui (Elina Djebbari)

Regards croisés
• Quelles sources pour l’histoire des festivals ? les collections du département des arts du
spectacle de la BnF ; l’histoire du festival d’Avignon dans les collections de la maison Jean Vilar
(Iris Berbain et Lenka Bokova)
• Festan, Festag, Panaf (Catherine Coquery)


lundi 25 novembre 2013

Annonce de publication : Dictionnaire universel des créatrices

Articles rédigés :
- « Les femmes galeristes »,
- « Denise René »,
- « Colette Allendy »,
- « Iris Clert »,
- « Betty Parsons »,
- « Peggy Guggenheim »,
du Dictionnaire universel des créatrices, Paris, Belin / Éditions des femmes, 2013.


Le Dictionnaire universel des créatrices est né de la volonté de mettre en lumière la création des femmes à travers le monde et l’histoire, de rendre visible leur apport à la civilisation. Pensé comme une contribution inédite au patrimoine culturel mondial, il a été rendu possible par plus de quatre décennies d’engagements et de travaux en France et dans tous les pays, qui ont permis de renouer avec une généalogie jusque-là privée de mémoire. Il entend recenser les créatrices connues ou encore méconnues qui, individuellement ou ensemble, ont marqué leur temps et ouvert des voies nouvelles dans un des champs de l’activité humaine. Son chantier d’étude couvre tous les continents, toutes les époques, tout le répertoire traditionnel des disciplines (artistiques, littéraires, philosophiques aussi bien que scientifiques) et il s’étend des sportives aux femmes politiques, en passant par les interprètes, les conteuses, les artisanes, fussent-elles anonymes…à toutes celles qui ont fait œuvre originale. Le terme de « création » est ici entendu dans son sens le plus vaste. 
  • Trois volumes de 1 600 pages chacun, brochés, sous coffret, format 17 x 24 cm
  • Plus de 100 directrices et directeurs de secteurs, personnalités de nombreux pays, reconnues dans leurs domaines de recherche
  • Près de 1 600 auteur(e)s de tous les continents
  • 10 000 articles sur une créatrice ou sur un thème, une école,  un mouvement ou une culture dans lesquels les femmes se sont illustrées, classés par ordre alphabétique
  • Des index par domaines de création, par continents, par périodes historiques

mercredi 16 octobre 2013

Annonce de publication : Poliakoff, le rêve des formes


J. Verlaine, « La destinée singulière d’un peintre face à l’évolution du goût artistique (1945-1969) », dans Serge Poliakoff. Le rêve des formes, catalogue d’exposition, Paris, Musée d’art moderne de la Ville de Paris / Paris-Musées, 2013, p. 77-80.

 Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris consacre au peintre abstrait Serge Poliakoff (1900-1969) une importante rétrospective de près de 150 œuvres réalisées entre 1946 et 1969. Depuis 1970, aucune exposition parisienne de grande ampleur n’a été consacrée à cet artiste majeur de l’École de Paris, soutenu par les plus grands historiens de l’abstraction (Charles Estienne, Michel Ragon, Dora Vallier) et qui, par l’intermédiaire de ses marchands (Denise René, Dina Vierny), a su éveiller l’intérêt de nombreux collectionneurs privés.
Le parcours de l’exposition est conçu comme un cheminement s’organisant en plusieurs séquences autour d’oeuvres-clés. Depuis ses années de recherches et la période de l’après-guerre –lorsqu’il appartient à l’avant-garde de la peinture abstraite, expose dans divers salons, attire l’attention de Kandinsky– jusqu’aux dernières peintures d’une modernité plus épurée (1968-1969).
Comme tous les artistes de l’abstraction intégrale, Poliakoff explore les relations entre la ligne et la surface, le fond et la forme, la couleur et la lumière. Mais l’apparente unité formelle de ses oeuvres dissimule une multiplicité de solutions picturales que le parcours de l’exposition rend lisibles. Les couleurs concentrées, la vibration de la matière, tout comme l’agencement savant des formes qui s’équilibrent dans une tension énergique contenue, jouent ensemble un rôle capital.
C’est cette lecture qui est proposée, montrant la singularité d’une approche particulièrement sensible et l’intense spiritualité d’une oeuvre qui n’a d’autre objet que ce « rêve des formes en soi qui est le grand mystère à élucider de ‘l’abstrait’ » (Pierre Guéguen).

Un accrochage dense de gouaches complète cette présentation, tandis que des projets de tissus, de vitraux et de céramiques mettent en relief les rapports féconds que Poliakoff entretenait avec le décoratif.

Enfin, l’exposition bénéficie d’un important appareil documentaire (photographies, archives visuelles et sonores) permettant d’appréhender la vie du peintre. Les débuts tumultueux d’un jeune émigré russe fuyant la Révolution ; puis l’ambiance artistique d’après guerre ; et enfin, les années de succès, au cours desquelles ses oeuvres attirent l’attention des personnalités du monde politique, de la mode et du cinéma (Yves Saint-Laurent, Greta Garbo, Yul Brynner, Anatol Litvak, etc.) mais aussi et surtout de la jeune scène artistique des années 1960 qui voyait en Poliakoff un des peintres les plus radicalement modernes.

Un catalogue, largement illustré et édité par Paris-Musées, est publié à cette occasion. Prix : 35 euros.

dimanche 15 septembre 2013

Pour une histoire de l’art d’un nouveau genre : approches critiques et pédagogiques



Séances du Séminaire GIS institut du Genre – master Slatel Paris 13 – master Histoire des Sociétés occidentales contemporaines Paris 1, Laboratoire InTru Tours


Charlotte Foucher Zarmanian, Anne Larue, Magali Nachtergael et Julie Verlaine org.

 

Premier semestre 2013-2014, Vendredi matin 9h30 – 12h30, à la MSH Paris nord - Salle A


Séance de présentation | vendredi 27 septembre
    Anne Larue, Charlotte Foucher Zarmanian, Magali Nachtergael, Julie Verlaine
avec keynote speaker Johanne Lamoureux, professeure à l’université de Montréal (Canada) :  la situation anglo-saxonne du début des années 80 et la bataille des féministes pour faire entrer des femmes artistes dans les survey books.

Genre, performance et mythes artistiques |  vendredi 4 octobre
    Janig Becog, Université de Strasbourg : autour de Gina Pane.
    Anne Creissels, Université Lille 3  : sur Rebecca Horn et le masque-crayon (1972).          

Performance, genre et champ postcolonial | vendredi 11 octobre
    Elvan Zabunyan, Université de Rennes 2 : art afro-américain et genre.
    Aliocha imhoff et Kantuta Quiros, Le peuple qui manque (commissaires d’expositions) : une histoire de l’art transgenre

Queer et intersectionalité | vendredi 18 octobre
    Marie-Hélène Bourcier, Université de Lille 3 : art et culture queer.
    Rachele Borgi, Université Paris 4 : la géographie sexuelle de l’art.
    Cristina Castellano, chercheure associée à l’université de Guadalajara (Mexique) : études culturelles : musées de femmes/musées du sexe.

Les théories féministes sur l’art : un état des lieux | vendredi 25 octobre
    Fabienne Dumont, Ecole supérieure d’art de Quimper
    Séverine Sofio, Chargée de recherche au CNRS, Cresppa-CSU.

Réflexions sur la pédagogie et le genre en histoire de l’art | vendredi 15 novembre
    Irène Jami, enseignante d’histoire-géographie et de l’option histoire des arts au Lycée Janson de Sailly, co-éditrice de l’ouvrage La place des femmes dans l’histoire. Une histoire mixte (Paris, Belin, 2010).
    Olivier Bonfait, professeur à l’université de bourgogne à Dijon, Président de l’aPaHau (association des professeurs d’archéologie et d’histoire de l’art des universités).

Médiations : critiques, galeries |  vendredi 29 novembre
    Chéryl Graciet, Frac Lorraine : Expositions féministes.

Formats et supports d’une histoire de l’art renouvelée : de la synthèse au dictionnaire | vendredi 13 décembre
    Catherine Gonnard et Elisabeth Lebovici, auteures de Femmes artistes, artistes femmes (2007).
    Marie-Laure Bernadac, conservateur au Louvre, et coordinatrice pour les arts plastiques du Dictionnaire des créatrices, à paraître aux éditions des femmes.

samedi 22 juin 2013

Le dépôt légal de l'internet à la Bibliothèque nationale de France (annonce de publication)


Vient de paraître :
Sociétés & Représentations, n° 35, 2013/1, 312 pages.
Dossier "Archives et patrimoines visuels et sonores", coordonné par Marie-France Chambat-Houillon et Évelyne Cohen


Rubrique "Lieux et ressources"
 
Premières lignes : "Nous avons rencontré le 4 février 2013 Clément Oury, chef du service du dépôt légal numérique, fondé en 2008 au sein du département du Dépôt légal de la Bibliothèque nationale de France. Il nous en a expliqué les principes et le fonctionnement."

samedi 15 juin 2013

La gestion du patrimoine culturel : questions de formation (appel à communication)



Colloque scientifique international
La gestion du patrimoine culturel : questions de formation

23-24 mai 2014, en Sorbonne
Organisé par l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne


À l’occasion des 20 ans du Master Professionnel (ancien DESS) « Histoire et Gestion du patrimoine culturel » de l’UFR d’histoire de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, un colloque scientifique international est organisé les 23 et 24 mai 2014 en Sorbonne.
Cette manifestation réunira chercheurs universitaires et professionnels de la culture pour une étude collective et interdisciplinaire de la gestion du patrimoine culturel en France et en Europe, son histoire, ses acteurs et ses enjeux contemporains. La rencontre vise à articuler, pour la première fois sur cet objet, une perspective historique sur l’introduction des méthodes de la gestion dans le secteur du patrimoine culturel, une approche socio-politique des professions et des compétences requises aujourd’hui par les employeurs publics et privés, et une réflexion prospective sur les effets des transformations à l’œuvre dans le domaine, aux échelles locale, nationale et européenne.
L’axe principal choisi pour le colloque est la question de la formation, par l’Université, des futurs cadres patrimoniaux et gestionnaires de la culture. On assiste depuis une décennie à la multiplication des formations professionnalisantes, dont le DESS créé à Paris 1 en 1993-1994 a été pionnier : au sein des UFR lettres, arts, sciences humaines et sociales, elles sont spécialisées dans les métiers de la culture, l’administration du patrimoine et la gestion des entreprises culturelles. Il s’agit de mettre en regard cette nouvelle offre de formation universitaire avec les évolutions que connaît l’emploi dans le secteur patrimonial, en termes de nature, de statut juridique et d’ancrage institutionnel, mais aussi en termes de missions confiées aux jeunes professionnels. Le colloque espère instaurer autour de ces questions un dialogue fécond entre deux groupes d’acteurs, celui des enseignants-chercheurs et celui des gestionnaires publics et privés du patrimoine culturel. 
Au sein de l’Université Paris 1, l’objet « patrimoine » intéresse toutes les disciplines regroupées dans les composantes de recherche et de formation : l’histoire et l’histoire de l’art, mais aussi la géographie et le tourisme, les sciences économiques et de gestion, tout comme le droit. Aussi ce colloque anniversaire est-il une occasion à saisir pour lancer une réflexion collective sur nos programmes de recherche et sur les formations, offertes aux étudiants de Master en particulier, à vocation de recherche ou à finalité professionnalisante. Ce débat s’enrichira en outre de comparaisons nationale et internationale, manière de questionner à la fois la singularité de l’offre universitaire parisienne dans ce domaine et d’élargir l’horizon des possibles au moment de penser aux adaptations à venir.

Dans cette perspective, trois dimensions seront privilégiées dans les interventions lors du colloque :
1- Que signifie « gérer » le patrimoine culturel ? Passant outre l’affirmation d’une irréductibilité du secteur à une approche par la rationalité économique, il s’agit d’en constater les singularités et les résistances. Quels paradigmes mobiliser pour comprendre l’intrication particulière, dans ce champ, entre les logiques issues du secteur marchand et celles du service public ? Les travaux des spécialistes de gestion et des économistes permettent de penser l’introduction de certaines pratiques de gestion et de management et leur répercussion sur les pratiques professionnelles. Mais il convient de considérer le phénomène dans une perspective historique : quand et comment sont apparus les administrateurs de la culture ? Une prosopographie des dirigeants culturels est à faire, afin de caractériser leur formation universitaire et leur « profils », mais également pour analyser l’importance, dans l’insertion des étudiants dans le monde du travail, des stages et emplois à durée déterminée, et des expériences internationales. Enfin, la féminisation de ces corps professionnels, avec son pendant, la question de la parité hommes/femmes, est une dimension à évoquer.
2- Comment ont évolué les formations proposées aux futurs gestionnaires du patrimoine ? Il convient d’ébaucher un premier bilan de l’explosion quantitative des diverses formations consacrées aux métiers de la culture : réponse à une évolution structurelle de l’emploi culturel, ou « diagonale du flou » (Claude Patriat et Isabelle Mathieu) ? Aussi bien, la diversité des horizons disciplinaires est à interroger : ces formations, alliant savoirs et compétences, sont dispensées par des composantes d’enseignement et de recherches se rattachant aux disciplines juridiques et aux sciences de l’économie et de la gestion, aussi bien qu’aux sciences humaines et sociales. Quels savoirs l’Université peut-elle mobiliser et transmettre, et comment penser les différents apports, pour de futurs jeunes actifs, de disciplines aussi diverses que l’histoire et l’histoire de l’art, la sociologie et l’économie, la gestion et le droit ? Si une formation professionnalisante doit être « interdisciplinaire », comment penser le dialogue entre disciplines au sein d’une équipe d’intervenants ?
3- Comment le contexte actuel redéfinit-il ces notions de gestion, de patrimoine et de culture et quelle place occupent, dans ces redéfinitions, l’Europe, les collectivités territoriales, les entreprises privées ? Quelles nouvelles exigences en découlent pour les jeunes entrants sur le marché du travail ? Le regard des professionnels, témoins des changements contemporains, et celui des agences de recrutement, sera ici apprécié ; quels profils sont aujourd’hui recherchés et pourquoi ?

Propositions de communication
Les communications seront  présentées  en  français  ou  en  anglais. Elles pourront soit présenter une synthèse, historique ou contemporaine, sur une question abordée par le colloque, articulant évolution du secteur d’activité du patrimoine culturel et questions de formation universitaire ; soit s’appuyer sur une étude de cas spécifique, et présenter les résultats d’une enquête ou analyse à l’échelle locale, nationale (les exemples non français seront appréciés) ou internationale.
Les  propositions comprendront un titre d’intervention, un résumé comptant entre 1500 et 3000 signes et une présentation de l’auteur. Elles peuvent être envoyées avant  le 30 octobre 2013 à l’adresse suivante : colloque.gestionpatrimoine2014@gmail.com   
Elles seront expertisées par le comité scientifique du colloque, dont l’avis sera transmis aux intervenants fin novembre 2013. Pour toute demande d’information complémentaire, écrire à colloque.gestionpatrimoine2014'at'gmail.com et julie.verlaine'at'univ-paris1.fr

Bibliographie indicative
Ballé Catherine, Poulot Dominique et Mazoyer Marie-Annick, Musées en Europe: une mutation inachevée, Paris, la Documentation française, 2004, 286 p.
Benhamou Françoise, Économie du patrimoine culturel, Paris, la Découverte, 2012 (rééd.), 126 p.
Benhamou Françoise et Cornu Marie, Le patrimoine culturel au risque de l’immatériel : enjeux juridiques, culturels, économiques, Paris, L’Harmattan, coll. « Droit du patrimoine culturel et naturel », 2010, 147 p.
Benhamou Françoise, Thesmar David, Mongin Philippe, Trainar Philippe, Valoriser le patrimoine culturel de la France, Paris, la documentation française, coll. « Les Rapports du Conseil d’analyse économique, 2011, 167 p.
Boudia Soraya, Rasmussen Anne et Soubiran Sébastien (dir.), Patrimoine et communautés savantes, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2009.
Coppalle Catherine (dir), Pourquoi enseigner le patrimoine ? Quels patrimoines, quels publics, quels enjeux ? Actes du colloque de Rouen du 9 novembre 2011, Rouen, Région Haute Normandie, Service régional de l’Inventaire, 2013.
Daumas Jean-Claude (dir.), Dictionnaire historique des patrons français, Paris, Flammarion, 2010, 1613 p.
Greffe Xavier, La gestion du patrimoine culturel, Paris, Anthropos, 1999, 253 p.
Greffe Xavier, L’emploi culturel à l’âge du numérique, Paris, Anthropos, 1999, 207 p.
La politique culturelle en débat: anthologie, 1955-2005, Paris, Comité d’histoire du Ministère de la culture/la Documentation française, 2006, 211 p.
Patriat Claude et Mathieu Isabelle (dir.), L’université et les formations aux métiers de la culture: la diagonale du flou, Dijon, Éd. universitaires de Dijon, 2012, 162 p.
Poirrier Philippe, Pour une histoire des politiques culturelles dans le monde, 1945-2011, Paris, Comité d’histoire du Ministère de la culture, 2011, 485 p.
Poulot Dominique, Musée et muséologie, Paris, La Découverte, coll. « Repères », 2010.
Tobelem Jean-Michel, Le nouvel âge des musées: les institutions culturelles au défi de la gestion, Paris, A. Colin, 2010 (rééd.), 324 p.

Lien vers l'appel sur Calenda